À la tombée de la nuit...

Alors que tout les élèves entraient dans leur salle commune respective, une jeune fille venait de prendre une autre direction que celle de sa maison. a vrai dire, cette ombre au fine courbe montait les escaliers et s'arrêtat devant une porte fesant gaffe à ne pas croisait le concierge de l'école qui n'était pas du gout des promenade nocturne. Maria ouvrit la porte et prit encore et encore les marches qui montaient. Elle arriva devant une autre porte et l'ouvrit. Là Maria prit une bonne bouffé d'aire et marcha le long de la toiture bleu. Elle s'approcha vers le bord, regardant une première fois le vide puis elle fit deux, trois pas en arrière, elle leva la tête et regarda les étoiles qui commençaient à apparaître les une après les autres. Au bout d'un moment, Maria se dirigea vers le mur et s'adossa à celui-ci.

Pas loin de cette jeune fille, un homme se tenait debout et droit, au bord du vide, sur le point le plus haut du toit. La lune ne laissait voir de lui qu'une silhouette noire à long manteau volant à la légère brise de vent qu'il y avait. C'était Vergil et il était là bien avant que la jeune fille n'arrive. Il avait senti sa présence mais ne s'était pas retourné pour la regarder ou lui parler. Il restait là, droit, immobile et silencieux, à regarder la lune.

Maria regardait toujours le ciel bleu fonçé ornit d'étoiles. Maria n'avait pas sentit la présence de Vergil, elle pensait être seule jusqu'à ce que son regard se pose sur l'ombre d'une personne. Qui était-ce? Aucunne idée. maria ne dit rien et se replongea sur la contemplation de la nuit. Elle s'assit par terre le dos coller au mur , elle ramena ses genous près de son visage et les entoura de ses bras nu. La fraicheur commençait à se faire sentir et maria fut parcourut de frisson mais cet air lui plu, elle resta donc là sous le froid de la nuit.

Vergil était toujours là, à regarder la lune, toujours immobile. Il ferma les yeux, laissant l'air frais passer sur son visage. Il y eut alors un coup de vent un peu plus violent que la brise qui régnait en ce moment et Vergil disparut d'un coup dans un léger bruissement de son manteau. Sa silhouette n'était plus devant la lune...

Maria regarda une nouvelle fois en direction de la silouhette mais ne la vit plus. Elle se demanda si elle n'avait pas eut une illusion mais qu'importe. Elle regarda une nouvelle fois la lune puis regarda ses chaussure qui étaient visible sous la lumière de la lune.

- C'est la deuxième fois en seulement une semaine que nous nous retrouvons dans ce genre de situation, mlle Angel, dit soudainement la voix de Vergil au dessus d'elle.

Il était réapparut on ne savait comment sur un petit toit de trois mètres plus haut que celui où était Maria. Il était assit tout au bord, un genoux remonté où son bras y était posé. Le bas de sa veste volait sur le côté au vent qui commençait à se lever un peu plus. Le professeur regardait la jeune fille d'un de ses regards toujours perçants.

Maria sursauta en entendant une voix. Elle leva la tête et vu le proesseur Damon. Oui,s'était vrai quand ce moment Maria et lui se croisaient souvent.

-Que voulez-vous, professeur s'est le destin qui veut celà!

Après avoir dit cette phrase Maria retourna dans la contemplation de ses souliers.

- Vous croyez ? dit Vergil qui la regardait toujours.

Il se mit debout puis après deux secondes de silence, il sauta et atterrit à côté de Maria, un genoux et une main au sol, le bas de sa longue veste voltigeant un peu. Il se mit debout et observa la jeune fille.

- Je vois que vous aimez beaucoup rester seule, mlle...

Maria leva les yeux une nouvelle fois en direction de son professeur.

-La solitude est un très bon moyen pour pencer et pourquoi se faire des amis alors que peut de gens peuvent vous comprendre? De plus Poudlard est peu peuplé en ce moment...

Maria se leva gardant toujours un oeil sur Vergil.

-Et puis pour admirer les étoiles vaut mieux être seul que déranger tout les cind secondes par des personnes qui ne sont pas du tout intérésser par la beautée du ciel.

Vergil arqua un sourcil puis dit :

- Vous avez tout à fait raison mlle mais il aurait été plus facile de me le demander si vous vouliez faire un tour ici. Vous auriez peut-être eu l'autorisation.

Il s'appuya dos au mur et croisa les bras. Il regarda le ciel sans rien dire pendant quelques secondes puis il ajouta, toujours les yeux en l'air :

- Mais étant donné les circonstance dans lesquelles vous avez entrepris cette petite excursion de nuit et l'avertissement que je vous ais donné l'autre jour que vous n'avez pas suivi, je suis obligé de vous punir...

Maria détourna son regard de Vergil.

-Vous demandez une autorisation? murmura-t-elle.

Maria reprit la contemplation du ciel et juste au moment où elle fut face au ciel, elle aperçu dans un court temps une trainé doré. Puis elle écoutat de nouveau son professeur.

-Un punition...mmmm... et laquel??

- Laissez-moi y réfléchir... dit Vergil.

Il ferma les yeux. On aurait dit sur le coup qu'il était pris de fatigue et qu'il s'était endormi debout. Mais il ne dormait pas, non, il réfléchissait. Il faisait souvent cela quand il avait besoin de temps ou alors quand les paroles de quelqu'un l'embêtait et qu'il n'en avait rien à faire. Mais ce n'était que le premier cas ici. Enfin , au bout d'une minute, il rouvrit les yeux. Il se décolla du mur, avança de quelques mètres et se retourna pour faire face à Maria. Il sortit sa baguette et dit :

- Voyons voir si Mlle Angel est douée en duel...

Maria fut un peu choquée en entendant le mot "duel".

-Un duel?? Mais eu...eu... je ne peux pas faire un duel avec vous...

Les duels Maria n'aimait pas beaucoup sa mais pourtant elle n'était pas nul dans ce genre d'activitée.

Vergil sourit, sa baguette pointée sur la jeune fille.

- Et pourquoi ne pouvez-vous pas vous battre en duel ? demanda-t-il.

Il y eut un coup de vent un peu violent en sa veste voltigea sur le côté. Par contre sa coiffure ne bougeait pas d'un cheveux étrangement...

Maria regarda Vergil, quand le coup de vent passa tout les cheveux de Maria llèrent sur le côter lui cachant la moitiée du visage.

-Eu...ba.. parce que s'est une chose que je ne suporta pas..

°°Menteuse..°°

Maria resta debout et posa lui de ses mains sur ses hanches.

- Et bien tant mieux, c'est votre punition, répondit Vergil en levant sa baguette un peu plus.

Il la regarda un moment puis demanda :

- Vous êtes-vous battu souvent en duel ?

Maria ne savait pas si elle devait répondre " oui, même plus que souvent" ou "non, non n'aimant pas celà...". Pour faire plsu simple elle ne lui répondit pas. Maria avait était plusieurs fois la première dans la catégorie duel mais bon... Elle n'aimait pas trop pensée au passé.

Vergil sourit un peu plus mais il n'insista pas là dessus.

- Bien... Nous allons donc pouvoir commencer, dit-il. Sortez votre baguette s'il vous plait.

Il attendit que la jeune fille s'exécute.

Maria prit un elastique de la poche arrière de son pantalon et s'attacha les cheveux de manière à ceuc qu'ils ne la gênent pas. Puie elle sortitsa baguette.

-Vous m'avez en quelque sorte forcer la main.. Je vous demanderez juste une chose d'alleer doucement car le dernier duel que j'ai fais un des dueliste à fini à l'infirmerie.

Maria eut un fin sourire sur ses lèvre.

Vergil arqua un sourcil.

- Nous verrons bien... dit-il.

Il respira un peu d'air frais et dit :

- Prête ?

Maria regarda son professeur. Sa baguette à elle était dans ses mains et pointait le sol.
-Prête...
Quand elle dit "prête" sa baguette n'avait pas bougé et son regard était toujour splongé dans celui de Vergil.

- Je ne préviens pas quand je commence, fit Vergil en soutenant son regard.

Il se tenait bien droit, son autre main derrière son dos. Il y eut cinq seconde de silence complet puis Vergil attaqua par un simple Expelliarmus au début.

Maria exquivat le sort de peu. En faisant un pas sur le côter.

-Pas mal professeur. Commençez par un sort de désarmement!

Maria pointat sa baguette en direction de Vergil est dit assez bas "Rictusempra".

Vergil le contra avec un sort informulé.

- Vous avez une bonne vitesse chère Maria, dit-il. Mais cela ne suffit pas.

Il lança un "Stupéfix".

Maria lançat elle un "protégo" et dit:

-Merci professeur!

Elle ne l'attaqua pas, attendant une nouvelle attaque de la par de son adversaire.